LE JOURNAL D'UNE IT-GIRL (Le journal d'une IT GIRL t. 1) (2022)
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- Auteur: Anaïs Bliss
- Pages:224 pages
- Editeur:
- Langue:Français
- Genre:Livres pour enfants
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livre pour enfant 9-12ans / Roman junior pour les 9-12 ans
Megan a tout pour être heureuse depuis qu’elle a remporté un prestigieux concours de top models et qu’elle s’est installée à Londres mais tout n’est pas si simple. Une belle mère aux faux airs de Cruella, un père immature, une cousine qui n’en est pas une, une psy borderline et une double identité…la vie de Megan est pleine de surprises. Une nouvelle école, une nouvelle famille, une nouvelle vie, mais qui est vraiment Megan ? Megan en a-t-elle la moindre idée ?
EXTRAIT:
Ma vie commence enfin ! Ça y est, j’ai 15 ans, je suis adulte ! Ma mère va enfin me lâcher les baskets (bien obligée maintenant que je vais vivre à plus de 1000 km de chez elle. Merci mon dieu !) Pour célébrer l’événement, je me suis auto offert un journal pour ne rien oublier de ma nouvelle vie qui s’annonce palpitante. J’arrive toujours pas à croire que j’ai gagné le concours Top Model of the Year en France. Incroyable mais vrai, moi et tous mes complexes on est monté ensemble sur la première marche du podium. C’était tellement fou ! J’ai eu l’impression de perdre ma virginité. Enfin, c’était qu’une impression, hein ! Alors voilà, ça y est, j’ai pris mes nouveaux appartements à Londres. C’est là qu’a poussée l’école internationale de formation des futurs top-models européens. Je suis l’élite. Moi ! Qui l’eut cru ? Je me pince tous les jours pour essayer de réaliser ma chance.
Au passage, j’ai même retrouvé mon père. Il est parti, il y a des années, à la recherche de lui-même soi-disant. Il avait plus de repères, besoin de se retrouver seul avec lui-même et, en chemin, il l’a trouvée elle : Cruella. Sérieux, comme si j’avais pas assez d’une mère sur le dos, il m’en ramène une deuxième qui parle même pas français. Si je pouvais divorcer de mon père, je le ferais. Cette espèce de communion libre à l’anglaise qu’il vit sous mon toit ça me rend malade. Il aurait pu me demander mon avis quand même. Je veux dire il n’a jamais été capable de choisir une femme tout seul, y a qu’à voir, avant Cruella, il avait choisi ma mère, c’est un signe quand même. Y a des hommes comme ça, ils ne devraient pas avoir le droit de choisir une femme tout seuls. On devrait nommer un tuteur qui les guide dans leur choix et les oriente en fonction de leur situation familiale actuelle et des besoins réels qui sont les leurs. Personne n’a besoin de deux Cruella dans une vie. La vie est trop courte pour ça.
Megan a tout pour être heureuse depuis qu’elle a remporté un prestigieux concours de top models et qu’elle s’est installée à Londres mais tout n’est pas si simple. Une belle mère aux faux airs de Cruella, un père immature, une cousine qui n’en est pas une, une psy borderline et une double identité…la vie de Megan est pleine de surprises. Une nouvelle école, une nouvelle famille, une nouvelle vie, mais qui est vraiment Megan ? Megan en a-t-elle la moindre idée ?
EXTRAIT:
Ma vie commence enfin ! Ça y est, j’ai 15 ans, je suis adulte ! Ma mère va enfin me lâcher les baskets (bien obligée maintenant que je vais vivre à plus de 1000 km de chez elle. Merci mon dieu !) Pour célébrer l’événement, je me suis auto offert un journal pour ne rien oublier de ma nouvelle vie qui s’annonce palpitante. J’arrive toujours pas à croire que j’ai gagné le concours Top Model of the Year en France. Incroyable mais vrai, moi et tous mes complexes on est monté ensemble sur la première marche du podium. C’était tellement fou ! J’ai eu l’impression de perdre ma virginité. Enfin, c’était qu’une impression, hein ! Alors voilà, ça y est, j’ai pris mes nouveaux appartements à Londres. C’est là qu’a poussée l’école internationale de formation des futurs top-models européens. Je suis l’élite. Moi ! Qui l’eut cru ? Je me pince tous les jours pour essayer de réaliser ma chance.
Au passage, j’ai même retrouvé mon père. Il est parti, il y a des années, à la recherche de lui-même soi-disant. Il avait plus de repères, besoin de se retrouver seul avec lui-même et, en chemin, il l’a trouvée elle : Cruella. Sérieux, comme si j’avais pas assez d’une mère sur le dos, il m’en ramène une deuxième qui parle même pas français. Si je pouvais divorcer de mon père, je le ferais. Cette espèce de communion libre à l’anglaise qu’il vit sous mon toit ça me rend malade. Il aurait pu me demander mon avis quand même. Je veux dire il n’a jamais été capable de choisir une femme tout seul, y a qu’à voir, avant Cruella, il avait choisi ma mère, c’est un signe quand même. Y a des hommes comme ça, ils ne devraient pas avoir le droit de choisir une femme tout seuls. On devrait nommer un tuteur qui les guide dans leur choix et les oriente en fonction de leur situation familiale actuelle et des besoins réels qui sont les leurs. Personne n’a besoin de deux Cruella dans une vie. La vie est trop courte pour ça.