Petits récits pornos L'intégrale (2020)
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- Auteur: Valentine Derivière
- Pages:62 pages
- Editeur:
- Langue:Français
- Genre:Érotisme
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***** MERCI AUX PLUS DE 2000 LECTRICES ET LECTEURS CONQUIS(E)S*****
Petits récits pornos l'intégrale regroupe les 11 récits des volumes 1 et 2 de la série du même nom.
Avec ce recueil de petites histoires pornographiques, l'auteure vous livre ses fantasmes les plus intimes. Sans aucun tabou, elle dévoile ici les contes érotiques qu'elle s'est amusée à écrire pour son amant, restés jusqu'à présent caché dans le secret de son alcôve.
Faites un cadeau original et coquin à votre amoureux.se, et laissez ces petites histoires érotiques pimenter et réchauffer votre couple cette année! (Existe en version brochée également).
"Pour ceux qui aiment le sexe, sans négliger la littérature." Andréa
"A lire en couple." Julia
Extraits
"L’effroi se mua en terreur lorsque les yeux de Marie-Alice se portèrent sur le bas-ventre de l’animal. Une verge d’une grosseur incommensurable pendait entre ses cuisses brunes. Deux bourses, chacune de la taille d’une balle de tennis, entouraient cette queue sauvage, qui commençait à se raidir à la vue de la jeune femme. Sa terreur redoubla d’intensité quand elle réalisa ce que l’immonde bête attendait d’elle. Eut-elle envie de la manger, qu’elle en aurait été moins effrayée. Cette bite, toute en longueur et rondeur, pointait à présent son gland rosé et luisant vers elle, avide de sa petite chatte timide et loin d’être experte en pénétration de toute sorte. "
"Comme je plains ce pauvre Ferdinand et comme je vous plains, ma pauvre Alice ! Être condamnée à la bienséance quand votre cul appelle la bite du paysan ! Pensez à moi, Alice, quand votre gentilhomme vous couvrira seulement pour vous engrosser. Pensez à moi quand vous rêvasserez la nuit de longs ébats dans la grange parmi les vaches et les cochons, tandis que votre mari ronflera à vos côtés, les couilles molles et la verge pendante. Souvenez-vous de quelle manière je fouillais de mon gland votre joli coquillage humide d’impatience et comment je m’enfonçais sans ménagement tout au fond de votre orifice, sentant monter en vous ce cri que vous réfréniez, un peu honteuse de ne pas vous comporter comme une femme de votre rang."
"Elle fouilla dans le tiroir de sa commode et attrapa une paire de bas et un porte-jarretelles, qu’elle enfila. Elle fit courir les bas de soie sur ses jambes et les accrocha. Elle retira sa culotte. C’était vraiment osé ! Son sexe, presque imberbe semblait presque sourire entre ces deux lanières de tissus, reconnaissant des égards qu’on semblait lui accorder. La vue de sa propre chatte à l’air dans le miroir la fit frissonner. Peut-être pourrait-elle se prendre comme cela, en floutant un peu son pubis ? Si c’était flouté, ça n’était pas grave... on ne voyait pas, on devinait, et c’était cela la différence entre la vulgarité et la sensualité. Elle prit une photo de son entrecuisse enserré. Le cadrage allait de son nombril et descendait jusqu’au milieu de ses cuisses. Elle hésita. Même floutée, elle ne savait pas trop si elle pouvait poster cela sur le réseau social. Même si elle serait certaine d’exploser son score d’approbations. Elle se retourna alors et prit une photo de ses fesses, la jupe relevée. Elle se pencha légèrement pour rendre à sa peau un effet plus lisse, ce qui fit apparaître les lèvres de sa fente."
Petits récits pornos l'intégrale regroupe les 11 récits des volumes 1 et 2 de la série du même nom.
Avec ce recueil de petites histoires pornographiques, l'auteure vous livre ses fantasmes les plus intimes. Sans aucun tabou, elle dévoile ici les contes érotiques qu'elle s'est amusée à écrire pour son amant, restés jusqu'à présent caché dans le secret de son alcôve.
Faites un cadeau original et coquin à votre amoureux.se, et laissez ces petites histoires érotiques pimenter et réchauffer votre couple cette année! (Existe en version brochée également).
"Pour ceux qui aiment le sexe, sans négliger la littérature." Andréa
"A lire en couple." Julia
Extraits
"L’effroi se mua en terreur lorsque les yeux de Marie-Alice se portèrent sur le bas-ventre de l’animal. Une verge d’une grosseur incommensurable pendait entre ses cuisses brunes. Deux bourses, chacune de la taille d’une balle de tennis, entouraient cette queue sauvage, qui commençait à se raidir à la vue de la jeune femme. Sa terreur redoubla d’intensité quand elle réalisa ce que l’immonde bête attendait d’elle. Eut-elle envie de la manger, qu’elle en aurait été moins effrayée. Cette bite, toute en longueur et rondeur, pointait à présent son gland rosé et luisant vers elle, avide de sa petite chatte timide et loin d’être experte en pénétration de toute sorte. "
"Comme je plains ce pauvre Ferdinand et comme je vous plains, ma pauvre Alice ! Être condamnée à la bienséance quand votre cul appelle la bite du paysan ! Pensez à moi, Alice, quand votre gentilhomme vous couvrira seulement pour vous engrosser. Pensez à moi quand vous rêvasserez la nuit de longs ébats dans la grange parmi les vaches et les cochons, tandis que votre mari ronflera à vos côtés, les couilles molles et la verge pendante. Souvenez-vous de quelle manière je fouillais de mon gland votre joli coquillage humide d’impatience et comment je m’enfonçais sans ménagement tout au fond de votre orifice, sentant monter en vous ce cri que vous réfréniez, un peu honteuse de ne pas vous comporter comme une femme de votre rang."
"Elle fouilla dans le tiroir de sa commode et attrapa une paire de bas et un porte-jarretelles, qu’elle enfila. Elle fit courir les bas de soie sur ses jambes et les accrocha. Elle retira sa culotte. C’était vraiment osé ! Son sexe, presque imberbe semblait presque sourire entre ces deux lanières de tissus, reconnaissant des égards qu’on semblait lui accorder. La vue de sa propre chatte à l’air dans le miroir la fit frissonner. Peut-être pourrait-elle se prendre comme cela, en floutant un peu son pubis ? Si c’était flouté, ça n’était pas grave... on ne voyait pas, on devinait, et c’était cela la différence entre la vulgarité et la sensualité. Elle prit une photo de son entrecuisse enserré. Le cadrage allait de son nombril et descendait jusqu’au milieu de ses cuisses. Elle hésita. Même floutée, elle ne savait pas trop si elle pouvait poster cela sur le réseau social. Même si elle serait certaine d’exploser son score d’approbations. Elle se retourna alors et prit une photo de ses fesses, la jupe relevée. Elle se pencha légèrement pour rendre à sa peau un effet plus lisse, ce qui fit apparaître les lèvres de sa fente."