Défoncée par ses Collègues - Tome 3 (2022)
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- Auteur: J.D. Lefevre
- Pages: 22 pages
- Editeur:
- Langue:Français
- Genre:Érotisme
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Quand Ariane part en séminaire avec deux collègues, des commerciaux très sexy, elle ne prête aucune attention à leurs avances sensuelles.
Mais lorsqu'ils arrivent à l'hôtel, les deux superbes hommes lui font une proposition qu'elle ne peut ignorer !!!!
Maintenant, elle est dans leur chambre, les deux hommes musclés explorent son corps et Ariane est sur le point de découvrir des sentiments qu'elle n'a jamais connus auparavant lorsqu'elle accepte la proposition de Marc et Karim.
---Étonnement, je prends plus de plaisir à les regarder que ce que je pensais. Adam se laisse emporter par la fougue de sa blonde et enlace celle-ci de ses bras. Il la fait reculer à pas chancelants, basculant tantôt sur la droite tantôt sur la gauche avant d’atteindre le lit – je n’avais même pas remarqué qu’il y en avait un – et d’y tomber comme au ralenti.
Leur alchimie opère son emprise sur mon corps ; je retiens presque mon souffle quand, tétanisée, je me laisse moi aussi tomber lentement sur un sofa attenant.
La musique classique qui nous parvient vaguement d’en bas couvre avec peine le bruit de nos souffles, surtout des leurs qui s’accélèrent. On entend jusqu’au froissement des draps, et le son du tissu qui glisse de leurs peaux pâles quand ils se déshabillent l’un l’autre. La longue robe de Félicia ne couvre plus que ses jambes et son bassin.
Mais lorsqu'ils arrivent à l'hôtel, les deux superbes hommes lui font une proposition qu'elle ne peut ignorer !!!!
Maintenant, elle est dans leur chambre, les deux hommes musclés explorent son corps et Ariane est sur le point de découvrir des sentiments qu'elle n'a jamais connus auparavant lorsqu'elle accepte la proposition de Marc et Karim.
---Étonnement, je prends plus de plaisir à les regarder que ce que je pensais. Adam se laisse emporter par la fougue de sa blonde et enlace celle-ci de ses bras. Il la fait reculer à pas chancelants, basculant tantôt sur la droite tantôt sur la gauche avant d’atteindre le lit – je n’avais même pas remarqué qu’il y en avait un – et d’y tomber comme au ralenti.
Leur alchimie opère son emprise sur mon corps ; je retiens presque mon souffle quand, tétanisée, je me laisse moi aussi tomber lentement sur un sofa attenant.
La musique classique qui nous parvient vaguement d’en bas couvre avec peine le bruit de nos souffles, surtout des leurs qui s’accélèrent. On entend jusqu’au froissement des draps, et le son du tissu qui glisse de leurs peaux pâles quand ils se déshabillent l’un l’autre. La longue robe de Félicia ne couvre plus que ses jambes et son bassin.