L'Afrique de l’ouest dernière frontière pour l’investissement immobilier (2021)
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- Auteur: Béatrice Dossou-Yovo
- Pages:48 pages
- Editeur:
- Langue:Français
- Genre:Art, Musique et Cinéma
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L’histoire a montré que l’Afrique n’a pas toujours été le marché le plus recherché. Cependant les chiffres sont là, et ne peuvent que susciter l’intérêt. L’Afrique représente un fort potentiel compte tenu de l’augmentation de la population vivant en ville, et par conséquent l’augmentation de la taille des villes. L’Afrique pourrait compter pas moins de 1,2 milliards de citadins à l’horizon 2050, et 4,5 millions de nouveaux résidents par an dans les zones d’habitation informelle.
En Europe, le marché immobilier s’est financiarisé au début des années 1990. Les fonds d’investissements sont devenus partout dans le monde et en quelques décennies, les maillons forts de la levée de capitaux. Dans les années 2000, les grands fonds immobiliers ont pris une place incontournable et gèrent des projets d’envergure grâce à leurs méthodes inspirées de la finance.
Ce phénomène pourrait se réaliser en Afrique, où tous les marchés sont en plein boom. Les fonds immobiliers, grâce à leur puissance de frappe et leurs capitaux énormes, deviennent un acteur majeur et incontournable pour construire l’Afrique de demain.
Pour comprendre la situation et proposer une stratégie aux investisseurs, nous ferons l’état des lieux du marché immobilier actuel en Afrique subsaharienne, en étudiant principalement trois villes : Abidjan, Accra et Dakar sur la base de données et de rapports précis d’organismes internationaux. Nous détaillerons les perspectives attendues localement car dans un contexte d’ultra urbanisation et de changements climatiques importants, nous voulons comprendre l’organisation actuelle et les zones d’améliorations possibles ; tels que la planification urbaine et l’implication des pouvoirs publics. « Les villes africaines doivent s’ouvrir au monde » considère un expert de la Banque Mondiale. Tout part de l’agglomération qui génère des effets positifs à tous les niveaux et doit être gérée avec cohérence, une lecture claire du paysage urbain, en amont des projets immobiliers et des programmes d’équipements publics.
Autre sujet : le phénomène du « tout puissant béton » unique, proposition de matériau de construction, très peu innovant : Le béton est mal adapté au climat chaud, thermiquement inconfortable et énergivore. C’est le moment d’innover et de créer d’autres modèles urbains. Tout reste à faire d’ici 2050, 80 % des bâtiments qui devront être construits n’existent pas.
Le marché africain est assoiffé et exponentiel. A l’opposé, les fonds immobiliers recherchent des opportunités, du terrain à bâtir et des retours sur investissements élevés. En mettant en contact l’offre et la demande, on crée une dynamique économique qui aura un impact local, régional, en définitif mondial.
En Europe, le marché immobilier s’est financiarisé au début des années 1990. Les fonds d’investissements sont devenus partout dans le monde et en quelques décennies, les maillons forts de la levée de capitaux. Dans les années 2000, les grands fonds immobiliers ont pris une place incontournable et gèrent des projets d’envergure grâce à leurs méthodes inspirées de la finance.
Ce phénomène pourrait se réaliser en Afrique, où tous les marchés sont en plein boom. Les fonds immobiliers, grâce à leur puissance de frappe et leurs capitaux énormes, deviennent un acteur majeur et incontournable pour construire l’Afrique de demain.
Pour comprendre la situation et proposer une stratégie aux investisseurs, nous ferons l’état des lieux du marché immobilier actuel en Afrique subsaharienne, en étudiant principalement trois villes : Abidjan, Accra et Dakar sur la base de données et de rapports précis d’organismes internationaux. Nous détaillerons les perspectives attendues localement car dans un contexte d’ultra urbanisation et de changements climatiques importants, nous voulons comprendre l’organisation actuelle et les zones d’améliorations possibles ; tels que la planification urbaine et l’implication des pouvoirs publics. « Les villes africaines doivent s’ouvrir au monde » considère un expert de la Banque Mondiale. Tout part de l’agglomération qui génère des effets positifs à tous les niveaux et doit être gérée avec cohérence, une lecture claire du paysage urbain, en amont des projets immobiliers et des programmes d’équipements publics.
Autre sujet : le phénomène du « tout puissant béton » unique, proposition de matériau de construction, très peu innovant : Le béton est mal adapté au climat chaud, thermiquement inconfortable et énergivore. C’est le moment d’innover et de créer d’autres modèles urbains. Tout reste à faire d’ici 2050, 80 % des bâtiments qui devront être construits n’existent pas.
Le marché africain est assoiffé et exponentiel. A l’opposé, les fonds immobiliers recherchent des opportunités, du terrain à bâtir et des retours sur investissements élevés. En mettant en contact l’offre et la demande, on crée une dynamique économique qui aura un impact local, régional, en définitif mondial.